2020, l’année du « Pourquoi ? » selon Google
31 décembre 2020
Le terme « pourquoi » (« Why », en anglais), résumé de l’année 2020 selon le moteur de recherche Google.
Le terme a été utilisé plus que jamais auparavant, comme l’a expliqué Google dans un rapport.
Le rapport annuel, appelé « Year in Search » (« L’année en recherches ») résume les activités des Canadien.ne.s sur le moteur de recherche du groupe.
Les questions « pourquoi les feux en Australie », « pourquoi y a-t-il eu une explosion à Beyrouth », « pourquoi le Nevada prend-t-il tant de temps à rendre ses résultats » ou encore « pourquoi est-ce que les gens se ruent sur le papier-toilette » sont des exemples de certaines des questions les plus posées cette année.
Google a d’ailleurs tenu à résumer cette année, comme à son habitude, en une vidéo :
Pour rappel, en 2017, le « comment » (ou « How », en anglais) était à l’honneur, comme le rappelle la vidéo Year in Search de cette année, ainsi que Stephen Colbert dans son talk show du 14 décembre dernier (à partir de 12:30).
La pandémie, grande « tendance » de l’année
Le terme « coronavirus » est, sans surprise, le terme le plus tendance de 2020, selon les recherches Google des Français.es.
Il se place devant, dans l’ordre :
- L’attestation COVID
- L’élection présidentielle américaine
- Les conseils concernant le coronavirus
- La nouvelle console PS5
Toujours selon le rapport 2020 de Google, l’année 2020 a été marquée par plusieurs épisodes politiques, chez nous, comme chez nos voisins américains.
Les informations françaises ont ainsi particulièrement mentionné l’élection américaine – ainsi que Joe Biden-, Benjamin Griveaux, le ministère de l’intérieur et Jean Castex.
Kim Jong Un et Boris Johnson font également partie des personnalités les plus « recherchées » de l’année.
Enfin, les Français.e.s ont cherché la définition de la procrastination, comment couper les cheveux d’un homme, la recette du pain maison, comment faire son propre masque ainsi que les recettes du chef Cyril Lignac.
Pour retrouver l’ensemble du rapport, cliquez ici.